CONTENU FONDATEUR

moi

Anne Alloin Fondatrice de « Mayanna » :

Tout commence en Janvier 2020…

Passionnée de voyage, de découverte et d’apprentissage, je décide de faire un break professionnel (je suis alors salariée dans le domaine des transports). Je pars pendant 2 mois en mode « sac à dos » au Guatemala. J’ai alors trois objectifs en tête : prendre des cours d’espagnol, faire des treks (je suis une adepte de la randonnée) et effectuer une mission de volontariat international dans un centre public pour jeunes mères et leurs enfants (j’ai été moi-même maman à 15 ans).

J’étais loin de me douter qu’à mon retour, je prendrai le chemin de l’entreprenariat social…

 

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Avant de débuter mes cours et ma mission, je me rends sur les rives du lac Atitlan entouré de volcans majestueux. Dans un petit village, je rencontre une communauté de tisserandes issues du peuple maya Tz’utujil. Ces femmes fabriquent des produits textiles selon une méthode héritée de leurs ancêtres. Tout d’abord, elles ramassent le coton, puis elles le filent elles-mêmes à la main. Ensuite, elles teintent le fil naturellement à l’aide de plantes et d’écorces locales. Enfin, elles tissent leurs créations à l’aide d’un métier à ceinture. Chaque réalisation est fait-main et est unique.

J’ai eu un véritable coup de cœur pour ces femmes, leur artisanat, leur authenticité et leur générosité.

Gradient Loom

Je me suis aussi rendu compte des difficultés qu’elles pouvaient rencontrer. Elles ne commercialisent leurs produits que dans leurs petites boutiques. Le nombre de visiteurs est faible. Force est de constater qu’elles ont du mal à pouvoir vivre de leur travail.

J’ai ensuite poursuivi mon voyage, j’en ai aimé chaque moment et j’ai réalisé tous mes objectifs fixés au départ !

A mon retour en France, je n’ai cessé de penser à ces artisanes. Une petite graine avait été semée dans ma tête lors de cette rencontre et elle a grandi fortement pendant la période de confinement qui a suivie.

C’est ainsi qu’est né mon projet : tisser un lien entre nos deux cultures en faisant connaitre le travail de ces artisanes en France.

D’un côté, nous pouvons bénéficier de leurs créations uniques et colorés et de l’autre ces femmes peuvent vivre dignement de leur travail.

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Au Guatemala, plus de la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté (Source : www.diplomatie.gouv.fr.).

Cette situation est en totale décalage avec l’or que les artisanes ont entre leur doigts lorsqu’elles tissent leurs créations.

Pour soutenir les habitantes de ce pays, je vous propose de partir à la découverte de leurs magnifiques créations textiles !

 

Commentaires (6)

isathoms

je me demande quel virus a touché les filles de cette famille!

marimarive

Des étoiles pleins les yeux!

Anne ALLOIN

Anne ALLOIN

Il faut dire que nous avons de qui tenir : des grand-parents aventuriers qui ont quitté leur pays avec leurs huit enfants et leurs vaches pour venir s'installer dans un pays dont ils ne connaissaient pas la langue !

Anne ALLOIN

Anne ALLOIN

Merci beaucoup pour ce commentaire !

Pep

Quelle joie de te voir ainsi t'accomplir ; tu as beaucoup de courage pour mener tous ces projets, je vous souhaite bonne chance à toi et ton association, pour ces femmes exceptionnelles et méconnues

Anne ALLOIN

Anne ALLOIN

Merci beaucoup Pep !
Ton commentaire me donne plein de bonnes ondes et d'énergie !

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